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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une liste. ↺Réinitialiser
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Églantine Laprie-Sentenac

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Travaillant avec une grande variété de médiums et de techniques, Églantine Laprie-Sentenac construit des séries de sculptures, de structures et de volumes qui abritent des objets collectés. Ces objets sont souvent trouvés au cours de ses promenades quotidiennes dans une ville donnée. En réutilisant des matériaux, Églantine pense des notions telles que l’économie et l’écologie des objets et des moyens, et l’acte de récupération. De nouveaux modes de contemplation apparaissent en regardant son travail : les images deviennent des objets, les objets deviennent des sculptures, liées à des histoires d’un passé inconnu. Par la manipulation d’images, de matériaux trouvés, son travail est imprégné de souvenirs qui semblent nouveaux. En enveloppant et désenveloppant les objets, un intéressant jeu de cache-cache se manifeste, qui remet en question les notions d’intimité et d’affectivité. Ses sculptures sont des habitats pour des choses que nous ne connaissons pas encore.
Henriette Gillerot, 2022.

1997, vit et travaille à Caen (14)
2021
DNSEP, ENSBA, École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon, Lyon.
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Églantine Laprie-Sentenac, ;), 2022, métal, cellophane, t-shirt, 40 × 30 × 15 cm.

Églantine Laprie-Sentenac, No future for fallen fence, 2021, bois, sangle, métal, pâte à sel, plastique, câble électrique, 210 × 90 × 45 cm.

Églantine Laprie-Sentenac, Valises, 2023, collage, 20 × 24 cm.

Travaillant avec une grande variété de médiums et de techniques, Églantine Laprie-Sentenac construit des séries de sculptures, de structures et de volumes qui abritent des objets collectés. Ces objets sont souvent trouvés au cours de ses promenades quotidiennes dans une ville donnée. En réutilisant des matériaux, Églantine pense des notions telles que l’économie et l’écologie des objets et des moyens, et l’acte de récupération. De nouveaux modes de contemplation apparaissent en regardant son travail : les images deviennent des objets, les objets deviennent des sculptures, liées à des histoires d’un passé inconnu. Par la manipulation d’images, de matériaux trouvés, son travail est imprégné de souvenirs qui semblent nouveaux. En enveloppant et désenveloppant les objets, un intéressant jeu de cache-cache se manifeste, qui remet en question les notions d’intimité et d’affectivité. Ses sculptures sont des habitats pour des choses que nous ne connaissons pas encore.
Henriette Gillerot, 2022.

1997, vit et travaille à Caen (14)
2021
DNSEP, ENSBA, École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon, Lyon.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en milieu scolaire ou périscolaire
  • des propositions d’intervention en institution (centres pénitentiaires, établissement de santé, EHPAD…)

Autres informations

  • L’artiste peut produire pour d’autres artistes
  • L’artiste peut produire pour des lieux ou réaliser des missions de régie
  • L’artiste peut partager son atelier avec d’autres artistes

Coordonnées de l’artiste