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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une listeRéinitialiser
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L. Camus-Govoroff

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Engagé·e dans un questionnement du corps individuel et collectif, iel s’intéresse aux différents systèmes de dominations et dynamiques de pouvoirs dont la biopolitique. Ses recherches sont nourries par les rapports inter-espèces, les savoirs ancestraux liés aux plantes, nos liens à la sacralité tout autant que par l’éco et le trans féminisme, l’anthropologie queer, le BDSM softcore et la récupération de ces différentes esthétiques dans la pop culture telle que dans le film Matrix, le jeu vidéo Skyrim ou encore les musiques de Brooke Candy et The Magnetic Fields. L. observe les limites physiques et sociales auxquelles nous faisons face en tant qu’individu·e·s, pour en imaginer des transgressions possibles et autres scénarios émancipateurs où la notion de communauté est importante. Chacune de ses pièces est donc conçue dans l’idée d’une potentielle interaction avec un visiteur ou une visiteuse. Chaque accrochage personnel est pensé de la même manière qu’une map dans laquelle chacun est libre de se déplacer et d’interagir.

1997, vit et travaille à Rémalard en Perche (61) et Pantin
2021
DNSEP, EnsAD, École nationale supérieure des arts décoratifs, Paris.

Forme également un collectif avec Alien She

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L. Camus-Govoroff, OpenSource, 2020/2021, plâtre, acier, tuyauterie, verre, décoction de plantes, dimensions variables.

L. Camus-Govoroff, Rester Nymphes ?, 2019, acier, dimensions variables.

L. Camus-Govoroff (co-produit avec Louis Chaumier), Stargate, 2022, bois, aluminium, carrelage, système électrique, néon, dimensions variables.

Engagé·e dans un questionnement du corps individuel et collectif, iel s’intéresse aux différents systèmes de dominations et dynamiques de pouvoirs dont la biopolitique. Ses recherches sont nourries par les rapports inter-espèces, les savoirs ancestraux liés aux plantes, nos liens à la sacralité tout autant que par l’éco et le trans féminisme, l’anthropologie queer, le BDSM softcore et la récupération de ces différentes esthétiques dans la pop culture telle que dans le film Matrix, le jeu vidéo Skyrim ou encore les musiques de Brooke Candy et The Magnetic Fields. L. observe les limites physiques et sociales auxquelles nous faisons face en tant qu’individu·e·s, pour en imaginer des transgressions possibles et autres scénarios émancipateurs où la notion de communauté est importante. Chacune de ses pièces est donc conçue dans l’idée d’une potentielle interaction avec un visiteur ou une visiteuse. Chaque accrochage personnel est pensé de la même manière qu’une map dans laquelle chacun est libre de se déplacer et d’interagir.

1997, vit et travaille à Rémalard en Perche (61) et Pantin
2021
DNSEP, EnsAD, École nationale supérieure des arts décoratifs, Paris.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en milieu scolaire ou périscolaire
  • des propositions d’intervention en institution (centres pénitentiaires, établissement de santé, EHPAD…)

L’artiste a aussi…

  • une activité de commissaire d’exposition ou d’écriture pour d’autres artistes

Coordonnées de l’artiste