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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une listeRéinitialiser
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Richard Penloup

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Un loup pour en cacher un autre, il a travaillé sous d’autres identités, hétéronymes totémiques. Ce jeu de cache-cache a conduit Richard Penloup à envisager son travail comme un objet à géométrie variable. Ainsi, les propositions plastiques s’inscrivent dans un ensemble dont chaque partie est articulée indépendamment et considérée comme la tentative de reconstitution par le fragment d’un objet lié aux motivations du regard. L’aspect fragmentaire ouvre les possibilités d’un travail déambulatoire de nature à questionner l’écart entre le geste artistique et son spectateur dans lequel par goût pour l’intuition et l’improvisation, au gré d’associations, par cut-up, il s’agit de fabriquer, refabriquer des objets, des situations, des fictions ou assumer toute autre sécrétion mentale pour surprendre quelque chose d’un « reste à voir ».
« Rien à voir » correspondances électroniques et autres écrits de confinement, Muriel Baumgartner, 2020.

1972, vit et travaille à Évreux (27)
2016
Master Sciences et techniques de l’exposition (STE), Université Paris I, Panthéon Sorbonne, Paris.
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Richard Penloup, Cube, série « Objets de réflexion », 2014, 40 plaques d’Altuglas™, 20 × 20 × 20 cm. Courtesy de l’artiste.

Richard Penloup, Platon était-il solide ?, 2011, photographie, 30 × 40 cm. Courtesy de l’artiste.

Richard Penloup, Melencolia, 2021, bois, plâtre, carton, peinture, dimensions variables. Courtesy de l’artiste.

Un loup pour en cacher un autre, il a travaillé sous d’autres identités, hétéronymes totémiques. Ce jeu de cache-cache a conduit Richard Penloup à envisager son travail comme un objet à géométrie variable. Ainsi, les propositions plastiques s’inscrivent dans un ensemble dont chaque partie est articulée indépendamment et considérée comme la tentative de reconstitution par le fragment d’un objet lié aux motivations du regard. L’aspect fragmentaire ouvre les possibilités d’un travail déambulatoire de nature à questionner l’écart entre le geste artistique et son spectateur dans lequel par goût pour l’intuition et l’improvisation, au gré d’associations, par cut-up, il s’agit de fabriquer, refabriquer des objets, des situations, des fictions ou assumer toute autre sécrétion mentale pour surprendre quelque chose d’un « reste à voir ».
« Rien à voir » correspondances électroniques et autres écrits de confinement, Muriel Baumgartner, 2020.

1972, vit et travaille à Évreux (27)
2016
Master Sciences et techniques de l’exposition (STE), Université Paris I, Panthéon Sorbonne, Paris.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en institution (centres pénitentiaires, établissement de santé, EHPAD…)

L’artiste a aussi…

  • une activité de commissaire d’exposition ou d’écriture pour d’autres artistes

Autres informations

  • L’artiste peut produire pour d’autres artistes (aide logistique, scénographie et régie d'exposition)
  • L’artiste peut produire pour des lieux ou réaliser des missions de régie (aide logistique, scénographie et régie d'exposition)

Coordonnées de l’artiste