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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une listeRéinitialiser
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Sandrine Reisdorffer

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Le langage non-verbal. C’est ainsi que Sandrine Reisdorffer nomme l’objet de sa recherche et ce qui nourri son geste – quelque soit sa forme – depuis les premières monstrations, en 2005.
Une recherche comme une cartographie, en rhizomes, de gestes-caractères d’un langage appartenant au registre de l’indicible. L’indicible. Une matière qui résulte de ce qui est induit de cultures, croyances, de conditionnements et d’automatismes. Cet endroit où se jouent aussi nos actions inconscientes, où se livre une lecture de nos perceptions et de ce qui nous constitue – en deçà des mots. Sa première série d’images, puis la vidéo qui s’en suivie : des plans serrés sur des parties de corps isolées, tendaient à questionner nos automatismes d’identification et par la même notre conditionnement immédiat à l’analyse codifiée. Les images de Sandrine Reisdorffer, mobiles ou immobiles, sont des signes qui viennent questionner ce qui fait mémoire et persistance de sensation. Elles sont traces – indiçables dans un flux d’images continu et incessant.

1980, vit et travaille à Rouen (76)
2003
Théâtre des Ateliers d’Aix-en-Provence.
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Sandrine Reisforffer, Particules d’une mécanique brute, vidéogramme, 2019, installation vidéo, triptyque, HD, 19 : 3, sonore, couleur, lecture continue.

Sandrine Reisforffer, Particules d’une mécanique brute, vidéogramme, 2019, installation vidéo, triptyque, HD, 19 : 3, sonore, couleur, lecture continue.

Sandrine Reisdorffer, Marée, 2019, vidéogramme, installation vidéo, HD, 16 : 9, couleur, sonore, 4h45 minutes.

Le langage non-verbal. C’est ainsi que Sandrine Reisdorffer nomme l’objet de sa recherche et ce qui nourri son geste – quelque soit sa forme – depuis les premières monstrations, en 2005.
Une recherche comme une cartographie, en rhizomes, de gestes-caractères d’un langage appartenant au registre de l’indicible. L’indicible. Une matière qui résulte de ce qui est induit de cultures, croyances, de conditionnements et d’automatismes. Cet endroit où se jouent aussi nos actions inconscientes, où se livre une lecture de nos perceptions et de ce qui nous constitue – en deçà des mots. Sa première série d’images, puis la vidéo qui s’en suivie : des plans serrés sur des parties de corps isolées, tendaient à questionner nos automatismes d’identification et par la même notre conditionnement immédiat à l’analyse codifiée. Les images de Sandrine Reisdorffer, mobiles ou immobiles, sont des signes qui viennent questionner ce qui fait mémoire et persistance de sensation. Elles sont traces – indiçables dans un flux d’images continu et incessant.

1980, vit et travaille à Rouen (76)
2003
Théâtre des Ateliers d’Aix-en-Provence.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en milieu scolaire ou périscolaire
  • des propositions d’intervention en institution (centres pénitentiaires, établissement de santé, EHPAD…)

Autres informations

  • L’artiste peut produire pour d’autres artistes (vidéo)

Coordonnées de l’artiste