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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une liste. ↺Réinitialiser
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Anne Sarah Sanchez

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«  De grands volumes blancs dessinent dans l’espace des formes, reconnaissables pour certaines, énigmatiques pour d’autres. Pourtant, toutes sont tirées du réel. Un réel qu’Anne Sarah Sanchez ne cesse d’observer pour mieux le déconstruire et le reconstruire à nouveau. […] De l’architecture au objets, en passant par le mobilier, elle s’attache à en répliquer certains éléments au moyen de matériaux de construction basiques – tels que le plâtre, Placo, bois, chaux ou encore polystyrène – qu’elle choisit de laisser à l’état brut. Sous ses mains, ces derniers se transforment en sculptures dont les trait assument une allure de décors surréalistes et fantomatiques, qui parviennent à semer le trouble dans l’automatisme de nos réflexes perceptifs. Les œuvres d’Anne Sarah Sanchez offrent la ponctuation d’un voyage immobile. Un voyage qui convoque à la fois l’espace présent et immédiat ainsi que celui absent, disparu ou évanescent. »
Licia Demuro, commissaire et critique d’art (2022)

1996, vit et travaille à Rouen (76)
2019
DNSEP, ÉSADHaR, École supérieure d’art et de design Le Havre / Rouen, Rouen.
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Anne Sarah Sanchez, Sans titre, 2021, bois, plâtre, 250 × 100 cm. Crédits photographiques : Léo Barranco, 2021.

Anne Sarah Sanchez, Lumi, 2019, bois, carton, papier, enduit, peinture acrylique, 120 × 55 × 40 cm. Crédits photographiques : Cindy Meurie, 2019.

Anne Sarah Sanchez, Sans titre, 2021, polystyrène, plâtre, 100 × 80 cm. Crédits photographiques : Léo Barranco, 2021.

«  De grands volumes blancs dessinent dans l’espace des formes, reconnaissables pour certaines, énigmatiques pour d’autres. Pourtant, toutes sont tirées du réel. Un réel qu’Anne Sarah Sanchez ne cesse d’observer pour mieux le déconstruire et le reconstruire à nouveau. […] De l’architecture au objets, en passant par le mobilier, elle s’attache à en répliquer certains éléments au moyen de matériaux de construction basiques – tels que le plâtre, Placo, bois, chaux ou encore polystyrène – qu’elle choisit de laisser à l’état brut. Sous ses mains, ces derniers se transforment en sculptures dont les trait assument une allure de décors surréalistes et fantomatiques, qui parviennent à semer le trouble dans l’automatisme de nos réflexes perceptifs. Les œuvres d’Anne Sarah Sanchez offrent la ponctuation d’un voyage immobile. Un voyage qui convoque à la fois l’espace présent et immédiat ainsi que celui absent, disparu ou évanescent. »
Licia Demuro, commissaire et critique d’art (2022)

1996, vit et travaille à Rouen (76)
2019
DNSEP, ÉSADHaR, École supérieure d’art et de design Le Havre / Rouen, Rouen.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en milieu scolaire ou périscolaire
  • des propositions d’intervention en institution (centres pénitentiaires, établissement de santé, EHPAD…)

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  • L’artiste cherche un (nouvel) atelier

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