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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une listeRéinitialiser
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Camille Dumond

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La pratique de Camille Dumond se développe sous forme d’installations, de films, et de projets éditoriaux. Issus de ses propres expériences (travail alimentaire, mode de vie grégaire) ou transposés depuis des récits existants (domaines de la transmission et de l’archive), ses films évoquent le documentaire comme une manière “d’accepter la réalité en travaillant sur et à partir des images et de la mise en récit1”. Ses fictions courtes sont issues de productions se rapprochant de celles du cinéma, projetées de façon autonome ou au cœur d’installations aux techniques mixtes. Sa pratique installative et sculpturale (pantins, sphères, éléments architecturaux) couvre certains sujets de ses narrations filmiques en les transposant, tout en ayant leur autonomie. Depuis 2020, elle mène un projet éditorial intitulé Entretiens pour un film (Éditions Clinamen), qui développe sa démarche réflexive autour des conditions de production filmiques. Sa dernière fiction (Prospect Center) a été tournée en Suisse au sein de la résidence de la Becque et est actuellement en cours de post-production.

1Erika Balsom et Hila Peleg, Documentary across disciplines, MIT Press, 2016.

1988, vit et travaille à Évreux (27) et Genève, Suisse
2014
Master en Arts visuels, HEAD, Haute école d’art et de design de Genève, Genève, Suisse.
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Camille Dumond, Wheels coiled with weeds, installation et écran de diffusion du film The escape (Dir. Camille Dumond, 17’, 2019), aluminium, tissu, faïence émaillée, bois, 400 x 500 x 200 cm.

Camille Dumont, BGY 4, 2022, suspension en grès émaillé aux cendres de thuya et saule, 170 × 80 × 80 cm.

Camille Dumond, The escape, photogramme, 2019, film, sonore, couleur, 17 minutes.

La pratique de Camille Dumond se développe sous forme d’installations, de films, et de projets éditoriaux. Issus de ses propres expériences (travail alimentaire, mode de vie grégaire) ou transposés depuis des récits existants (domaines de la transmission et de l’archive), ses films évoquent le documentaire comme une manière “d’accepter la réalité en travaillant sur et à partir des images et de la mise en récit1”. Ses fictions courtes sont issues de productions se rapprochant de celles du cinéma, projetées de façon autonome ou au cœur d’installations aux techniques mixtes. Sa pratique installative et sculpturale (pantins, sphères, éléments architecturaux) couvre certains sujets de ses narrations filmiques en les transposant, tout en ayant leur autonomie. Depuis 2020, elle mène un projet éditorial intitulé Entretiens pour un film (Éditions Clinamen), qui développe sa démarche réflexive autour des conditions de production filmiques. Sa dernière fiction (Prospect Center) a été tournée en Suisse au sein de la résidence de la Becque et est actuellement en cours de post-production.

1Erika Balsom et Hila Peleg, Documentary across disciplines, MIT Press, 2016.

1988, vit et travaille à Évreux (27) et Genève, Suisse
2014
Master en Arts visuels, HEAD, Haute école d’art et de design de Genève, Genève, Suisse.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en milieu scolaire ou périscolaire
  • des propositions d’intervention en institution (centres pénitentiaires, établissement de santé, EHPAD…)

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