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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une listeRéinitialiser
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Clémentine Dupré

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Clémentine sculpte, dessine dans l’espace des pleins dans des vides, vice versa. Elle emprunte au lararium et construit de petits sanctuaires intimes dédiés à des figures tutélaires et féminines. Représenter sans figurer, peut-être pour dire que le corps s’anéantit quand l’esprit reste éternel dans les mémoires de celles qui suivent. Symboliser par le lieu comme on s’inventerait des fétiches, des figures non figurées affublées d’ornements multiples. Revenir aux rituels païens parce qu’ils ont célébré plus intensément le spectre entier de ce qui est, sans rien dévorer. Un autre versant de ses recherches s’immerge dans un possible langage architectonique, définit en typologie, comme un amalgame recomposé et structuré, restitution de sa propre expérience de son environnement. Elle crée un alphabet tridimensionnel, qui par un effet de combinatoire se décline à l’infini telle une ode à l’architecture perçue comme un continuum ininterrompu d’influences et d’interpénétrations formelles.

1978, vit et travaille à Flers (61)
2005
DNMADE, Diplôme national des métiers d’arts et du design, ENSAA, École nationale supérieure d’arts appliqués Duperré, Paris.

Forme également un collectif avec ACDG

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Clémentine Dupré, Madone à la chevelure, 2022, grès émaillé, bois et fibre végétale, 92 × 34 × 34 cm, © ADAGP, 2022. Crédits photographiques : Anthony Girardi, 2022.

Clémentine Dupré, FataMorgana, 2020, grès émaillé, 88 × 43 × 43 cm, © ADAGP, 2020. Crédits photographiques : Photographie Anthony Girardi, 2020.

Clémentine Dupré, Gorgones, 2022, grès émaillé, photographie, bois, tissus et ardoise, dimensions variables, © ADAGP, 2022. Crédits photographiques : Anthony Girardi, 2022.

Clémentine sculpte, dessine dans l’espace des pleins dans des vides, vice versa. Elle emprunte au lararium et construit de petits sanctuaires intimes dédiés à des figures tutélaires et féminines. Représenter sans figurer, peut-être pour dire que le corps s’anéantit quand l’esprit reste éternel dans les mémoires de celles qui suivent. Symboliser par le lieu comme on s’inventerait des fétiches, des figures non figurées affublées d’ornements multiples. Revenir aux rituels païens parce qu’ils ont célébré plus intensément le spectre entier de ce qui est, sans rien dévorer. Un autre versant de ses recherches s’immerge dans un possible langage architectonique, définit en typologie, comme un amalgame recomposé et structuré, restitution de sa propre expérience de son environnement. Elle crée un alphabet tridimensionnel, qui par un effet de combinatoire se décline à l’infini telle une ode à l’architecture perçue comme un continuum ininterrompu d’influences et d’interpénétrations formelles.

1978, vit et travaille à Flers (61)
2005
DNMADE, Diplôme national des métiers d’arts et du design, ENSAA, École nationale supérieure d’arts appliqués Duperré, Paris.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en milieu scolaire ou périscolaire

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