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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une listeRéinitialiser
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Lauralie Naumann

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Fascinée par l’image traditionnelle que nous pouvons avoir du théâtre et ses objets, Lauralie Naumann travaille autour de la sculpture, la scénographie, la performance, les costumes et objets pour organiser et mettre en scène des récits organisés autour d’indices incarnant les différents aspects son environnement. Au sein de son travail, c’est la voix et le geste qui donnent sens aux formes. Dans celui-ci, les objets manipulent les performeurs et deviennent eux-mêmes des personnages, porteurs d’un message qui n’est compréhensible que dans l’action. Ce qui est visible est lisible, ce qui est mobile est un vecteur potentiel de sens. Les performeurs deviennent des « véhicules de conversation » (terme employé par Marie De Brugerolle). Les objets sont manipulés et manipulent à leur tour : dès qu’ils sont touchés et amenés, ils déclenchent le discours, faisant bifurquer les histoires. Réparti autour de ce dispositif, le public est ainsi invité à suivre un récit dont les chimères et les allégories deviennent des sujets loufoques perdus dans le spectre d’une histoire modelée autour d’une réalité, celle de Lauralie et dont les pistes sont brouillées afin de maintenir une ambiguïté.

1998, vit et travaille à Rouen (76)
2021
DNSEP, ÉSADHaR, École supérieure d’art et de design Le Havre / Rouen, Rouen.
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Lauralie Naumann, Iels font l’équilibre, extrait-vidéo et performance, 2023, Maison des Arts, Grand-Quevilly, Crédits vidéo et photographique : « .Kit », 2023.

Lauralie Naumann, The Lonely Mediator, 2023, matériaux, dimensions. Crédits photographiques : Médium Argent, 2023.

Lauralie Naumann, Viticulas Spiralis II, performance, mai 2022, Frac Normandie, Caen.

Fascinée par l’image traditionnelle que nous pouvons avoir du théâtre et ses objets, Lauralie Naumann travaille autour de la sculpture, la scénographie, la performance, les costumes et objets pour organiser et mettre en scène des récits organisés autour d’indices incarnant les différents aspects son environnement. Au sein de son travail, c’est la voix et le geste qui donnent sens aux formes. Dans celui-ci, les objets manipulent les performeurs et deviennent eux-mêmes des personnages, porteurs d’un message qui n’est compréhensible que dans l’action. Ce qui est visible est lisible, ce qui est mobile est un vecteur potentiel de sens. Les performeurs deviennent des « véhicules de conversation » (terme employé par Marie De Brugerolle). Les objets sont manipulés et manipulent à leur tour : dès qu’ils sont touchés et amenés, ils déclenchent le discours, faisant bifurquer les histoires. Réparti autour de ce dispositif, le public est ainsi invité à suivre un récit dont les chimères et les allégories deviennent des sujets loufoques perdus dans le spectre d’une histoire modelée autour d’une réalité, celle de Lauralie et dont les pistes sont brouillées afin de maintenir une ambiguïté.

1998, vit et travaille à Rouen (76)
2021
DNSEP, ÉSADHaR, École supérieure d’art et de design Le Havre / Rouen, Rouen.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en milieu scolaire ou périscolaire

L’artiste a aussi…

  • une activité de commissaire d’exposition ou d’écriture pour d’autres artistes

Autres informations

  • L’artiste peut produire pour d’autres artistes (production textile, production éditoriale)
  • L’artiste cherche un (nouvel) atelier

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