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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une liste. ↺Réinitialiser
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Louise Dubais

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Louise Dubais conçoit des installations qui visent à mettre au jour des formes enfouies. Elle rassemble et inventorie des matériaux inertes (métaux, pierres, verres, tissus, etc.), des contenants semblables à des creusets et des éléments qu’elle forge ou qu’elle réduit en cendres. Tous ces éléments dialoguent dans l’espace qu’elle investit par une succession de dépôts. L’ensemble évoque un espace pictural tridimensionnel, une scène, un espace rituel que l’on est invité à parcourir. Les compositions formelles font corps communs en leurs diversités. Cette pluralité rédige un dépaysage à diverses entrées sans source et sans arrivée. S’y jouent des réunions d’entités en attente, la précarité de leurs divers positionnements opère un mélange permettant la solidification des ensembles. L’espace n’est pas autorisé dans un premier temps. Depuis 2020, les teintes intermédiaires, notamment le gris, propre à la cendre très employée dans ses travaux antérieurs, sont en mouvement. Elles s’étirent progressivement vers une réhydratation chromatique marquant l’introduction d’une nouvelle luminosité.

1997, vit et travaille à Caen (14)
2020
DNSEP, ÉSAM, École supérieure d’arts et médias de Caen / Cherbourg, Caen.
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Louise Dubais, The smell of dust, 2020, barre en acier inoxydable, cendres (bois et papier), verre (recyclé), laiton, plastique, œuf en marbre, cuivre, caoutchouc, verre pilé, clou en acier, 100 × 280 × 420 cm.

Louise Dubais, The smell of dust, 2020, barre en acier inoxydable, cendres (bois et papier), verre (recyclé), laiton, plastique, œuf en marbre, cuivre, caoutchouc, verre pilé, clou en acier, 100 × 280 × 420 cm.

Louise Dubais, The smell of dust, 2020, barre en acier inoxydable, cendres (bois et papier), verre (recyclé), laiton, plastique, œuf en marbre, cuivre, caoutchouc, verre pilé, clou en acier, 100 × 280 × 420 cm.

Louise Dubais conçoit des installations qui visent à mettre au jour des formes enfouies. Elle rassemble et inventorie des matériaux inertes (métaux, pierres, verres, tissus, etc.), des contenants semblables à des creusets et des éléments qu’elle forge ou qu’elle réduit en cendres. Tous ces éléments dialoguent dans l’espace qu’elle investit par une succession de dépôts. L’ensemble évoque un espace pictural tridimensionnel, une scène, un espace rituel que l’on est invité à parcourir. Les compositions formelles font corps communs en leurs diversités. Cette pluralité rédige un dépaysage à diverses entrées sans source et sans arrivée. S’y jouent des réunions d’entités en attente, la précarité de leurs divers positionnements opère un mélange permettant la solidification des ensembles. L’espace n’est pas autorisé dans un premier temps. Depuis 2020, les teintes intermédiaires, notamment le gris, propre à la cendre très employée dans ses travaux antérieurs, sont en mouvement. Elles s’étirent progressivement vers une réhydratation chromatique marquant l’introduction d’une nouvelle luminosité.

1997, vit et travaille à Caen (14)
2020
DNSEP, ÉSAM, École supérieure d’arts et médias de Caen / Cherbourg, Caen.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en institution (centres pénitentiaires, établissement de santé, EHPAD…)

Autres informations

  • L’artiste cherche un (nouvel) atelier

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