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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une liste. ↺Réinitialiser
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Maxime Testu

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«  Chacune de ces scènes inscrit le protagoniste — Maxime Testu lui-même — dans l’ordinaire, vaquant à ses petites affaires. Il raconte ses journées comme il tiendrait un journal de bord ou un journal intime, dans un style quasi enfantin, attendrissant et plein d’humour. […] Le Schnorrer, signifiant « mendiant » ou « parasite » en yiddish, est celui qui gratte quelques euros par-ci par-là, vous prend une cigarette sans pouvoir vous la rendre. C’est celui qui tente, un peu désespérément, d’obtenir légèrement plus que ce à quoi il est contraint. » […] « Puisant dans l’héritage poétique d’une vision de l’artiste bohème et maudit sublimée au cours du XIXe siècle, Maxime Testu en propose une mise à jour à l’ère du 2.0, attentif au contexte économique et politique dans lequel il travaille. Vacillant sans cesse entre caricatures et vanités, entre moquerie et gravité, ces œuvres questionnent la précarité du statut de l’artiste et la confusion entre sphère privée et publique, espace domestique et espace de travail, qui en émane. »
Indira Béraud et Éric Degoutte, extraits, 2021 et 2020.

1990, vit et travaille à Varengeville-sur-Mer (76) et Paris
2016
Master en Arts visuels, Work.Master - Pratiques artistiques contemporainesn HEAD, Haute école d’art et de design de Genève, Genève, Suisse.
2014
DNSEP, ENSBA, École supérieur des beaux arts de Lyon, Lyon.
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Maxime Testu, Le Parc, 2022, huile sur toile, 150 × 150 cm.

Maxime Testu, Les Marginaux, 2022, huile sur toile, 80 × 200 cm.

Maxime Testu, Doom from the start, 2022, huile sur toile, 80 × 100 cm.

«  Chacune de ces scènes inscrit le protagoniste — Maxime Testu lui-même — dans l’ordinaire, vaquant à ses petites affaires. Il raconte ses journées comme il tiendrait un journal de bord ou un journal intime, dans un style quasi enfantin, attendrissant et plein d’humour. […] Le Schnorrer, signifiant « mendiant » ou « parasite » en yiddish, est celui qui gratte quelques euros par-ci par-là, vous prend une cigarette sans pouvoir vous la rendre. C’est celui qui tente, un peu désespérément, d’obtenir légèrement plus que ce à quoi il est contraint. » […] « Puisant dans l’héritage poétique d’une vision de l’artiste bohème et maudit sublimée au cours du XIXe siècle, Maxime Testu en propose une mise à jour à l’ère du 2.0, attentif au contexte économique et politique dans lequel il travaille. Vacillant sans cesse entre caricatures et vanités, entre moquerie et gravité, ces œuvres questionnent la précarité du statut de l’artiste et la confusion entre sphère privée et publique, espace domestique et espace de travail, qui en émane. »
Indira Béraud et Éric Degoutte, extraits, 2021 et 2020.

1990, vit et travaille à Varengeville-sur-Mer (76) et Paris
2016
Master en Arts visuels, Work.Master - Pratiques artistiques contemporainesn HEAD, Haute école d’art et de design de Genève, Genève, Suisse.
2014
DNSEP, ENSBA, École supérieur des beaux arts de Lyon, Lyon.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en milieu scolaire ou périscolaire
  • des propositions d’intervention en institution (centres pénitentiaires, établissement de santé, EHPAD…)

Autres informations

  • L’artiste peut produire pour des lieux ou réaliser des missions de régie

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