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Le travail de Vincent Girard suit une ligne où l’oralité, les récits folkloriques, les légendes urbaines se mêlent aux flux d’images instagrammables, à celles créées par des I.A, à la culture Internet. De ce maelstrom de références, il extrait une boue primordiale qui est la peinture. Une fois étalée, cette boue une fois étalée révèle des formes, des figures, des paysages, des concepts : une pensée en deux dimensions. Agissant tel un portail interdimensionnel ouvert sur d’autres mondes, sa peinture comme le pendant du réel derrière un miroir, découle d’un travail de recherche picturale autour des récits qui font l’humain transcendé par le non-visible. Comment le monde de derrière le miroir croît en parallèle du monde réel ? Comment rendre compte de cet espace poreux ? La peinture de Vincent Girard reflète et amplifie le réel pour mieux en déformer ses contours. Les yeux sont grossis, les formes floutées et inquiétantes, Vincent Girard prophétise le pire pour, peut-être à terme, l’éviter.
1997, vit et travaille à Rennes
2021
DNSEP, ÉSAM, École supérieure d’arts et médias de Caen / Cherbourg, Caen.
Vincent Girard, Monsters, vue d’exposition, exposition personnelle (DNSEP), 2021, ÉSAM, Caen. Crédits photographiques : Michèle Gottstein, 2021.
Vincent Girard, Ningen, 2022, huile sur toile, 46 × 55 cm.
Vincent Girard, Mains froides, 2022, huile sur toile, 18 × 24 cm.
Le travail de Vincent Girard suit une ligne où l’oralité, les récits folkloriques, les légendes urbaines se mêlent aux flux d’images instagrammables, à celles créées par des I.A, à la culture Internet. De ce maelstrom de références, il extrait une boue primordiale qui est la peinture. Une fois étalée, cette boue une fois étalée révèle des formes, des figures, des paysages, des concepts : une pensée en deux dimensions. Agissant tel un portail interdimensionnel ouvert sur d’autres mondes, sa peinture comme le pendant du réel derrière un miroir, découle d’un travail de recherche picturale autour des récits qui font l’humain transcendé par le non-visible. Comment le monde de derrière le miroir croît en parallèle du monde réel ? Comment rendre compte de cet espace poreux ? La peinture de Vincent Girard reflète et amplifie le réel pour mieux en déformer ses contours. Les yeux sont grossis, les formes floutées et inquiétantes, Vincent Girard prophétise le pire pour, peut-être à terme, l’éviter.
1997, vit et travaille à Rennes
2021
DNSEP, ÉSAM, École supérieure d’arts et médias de Caen / Cherbourg, Caen.
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