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Cette traverse mène aux artistes en lien avec la Normandie utilisant tout ce qui leur est donné pour médium, et dont la pratique explore l’infinité des pensées qui nourrissent la création. Elle se révèle sous la forme d’une liste. ↺Réinitialiser
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Leticia Martínez Pérez

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Leticia Martínez Pérez interroge le ridicule dans l’interstice entre culture noble et vernaculaire. Jouant avec les codes et basculant entre des références au folklore et à l’histoire de l’art, sa pratique s’alimente de la culture populaire, avec laquelle elle entretient une relation décomplexée. S’intéressant aux frictions entre tradition et modernité, l’artiste s’approprie de pratiques artisanales et du monde de la mode. C’est grâce à la sculpture, l’installation et la performance qu’elle crée un univers burlesque et onirique couplé avec le réel. À travers la mise en scène de ses objets et de ses personnages, elle recrée un carnaval perturbant, aussi voluptueux qu’innocent. Ayant une dimension sensuelle et exubérante, son travail combine anthropomorphisme, objets du quotidien, coiffures et costumes pour inventer des familles ou des communautés éphémères imaginant les métamorphoses d’un monde à venir.

1984, vit et travaille à Paris, Marseille et Caen (14)
2017
DNSEP, ÉSAM, École supérieure d’arts & médias de Caen / Cherbourg, Caen.
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Leticia Martínez Pérez, Jerónima, 2020, installation de sculptures en peinture sur soie, dimensions variables. Crédits photographiques : Marcos Uriondo, 2020.

Leticia Martínez Pérez, Miyo, 2017, céramique, tulle et bois, 165 × 50 × 18 cm. Crédits photographiques : Michèle Gottstein, 2017.

Leticia Martínez Pérez, Pin et Tetislap, 2018, céramique, support en fer et bois, 160 × 45 × 75 cm et 2022 × 60 × 22 cm. Crédits photographiques : Amel H.A, 2022.

Leticia Martínez Pérez, Keke Vilabelda et Jonathan Bell, Common Ground, 2020, performance pour chœur, 18 min, Grau Projekt, Melbourne, Australia.

Leticia Martínez Pérez interroge le ridicule dans l’interstice entre culture noble et vernaculaire. Jouant avec les codes et basculant entre des références au folklore et à l’histoire de l’art, sa pratique s’alimente de la culture populaire, avec laquelle elle entretient une relation décomplexée. S’intéressant aux frictions entre tradition et modernité, l’artiste s’approprie de pratiques artisanales et du monde de la mode. C’est grâce à la sculpture, l’installation et la performance qu’elle crée un univers burlesque et onirique couplé avec le réel. À travers la mise en scène de ses objets et de ses personnages, elle recrée un carnaval perturbant, aussi voluptueux qu’innocent. Ayant une dimension sensuelle et exubérante, son travail combine anthropomorphisme, objets du quotidien, coiffures et costumes pour inventer des familles ou des communautés éphémères imaginant les métamorphoses d’un monde à venir.

1984, vit et travaille à Paris, Marseille et Caen (14)
2017
DNSEP, ÉSAM, École supérieure d’arts & médias de Caen / Cherbourg, Caen.

L’artiste est particulièrement attentif·ve à…

  • des demandes de visite d’atelier ou de rencontre (sur rendez-vous)
  • des propositions d’intervention en milieu scolaire ou périscolaire
  • des propositions d’intervention en institution (centres pénitentiaires, établissement de santé, EHPAD…)

Autres informations

  • L’artiste peut produire pour d’autres artistes (céramique)
  • L’artiste peut produire pour des lieux ou réaliser des missions de régie (céramique)

Coordonnées de l’artiste